La conscience télépathique

EN COURS...


Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction "descendue" par BDM de manière équitable, collaborative, créative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, anonymat garanti. ** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour egos surdimensionnés, auto-promotion… iront directement dans la corbeille.


 

 

 

Être sur le chemin de l’évolutionc’est mener une étude

BDMPE-028

 

 

 

 

BDM: "D'autres personnes continueront ce travail de développement pour comprendre réellement les mécanismes occultes de la conscience. Ce sera important pour l’homme de pouvoir, en tant qu’ego, se référer à cette science-là pour comprendre sa relation avec sa source, donc avec les forces voilées qui font partie de sa supraconscience, afin de se protéger sur la terre et de vivre une vie de plus en plus agréable".


Extraits de "La conscience télépathique" PE 139 proposé par Edwige. Ils sont prétextes à échanges avec BDM, avec sa source et à leurs prolongements génératifs sur Focus. 

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Commentaires: 29
  • #1

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:15)

    1 Bernard
    L’homme sur le plan matériel est un être qui, alors qu’il n’a pas d’identité, ne peut pas bénéficier sur le plan psychique d’une maîtrise de sa conscience, il n’est pas maître de sa conscience, la vie devient de plus en plus difficile à cerner et, à cause de ceci, l’homme vit un stress existentiel de plus en plus poignant. C’est pour ça que ce qu’on appelle la conscience évolutionnaire, la psychologie évolutionnaire, cette science de l’esprit est essentielle pour l’homme parce qu’elle lui permettra éventuellement de se séparer, réellement de la manière de penser de l’homme, de l’humanité, inconsciente en général. Ceci l’amènera à gravir ou à atteindre des niveaux de conscience, de science intérieure, de palpabilité de son esprit qu’il n’a pas connus pendant l’involution. Et ça, ce sera une révolution.

    Edwige
    Lorsque l'humain se penche réellement sur la science de son mental et de son esprit, qu'il comprend la relation entre son âme, son ego et les plans, il entre dans une révolution de son ego, dans une maitrise de sa conscience qui, progressivement fait cesser la subjectivité des souffrances dans sa vie. En apprenant que les pensées viennent d'ailleurs, que leurs énergies sont une matière première pour les plans il peut lui aussi utiliser cette énergie pour devenir créateur et non destructeur de sa vie.

    Josée
    Se couper de la société inconsciente, ça ne se fait pas en criant ciseaux, ça ne fait pas non plus en utilisant des ciseaux, ce n’est pas une rupture avec le passé collectif. Se couper de la société inconsciente, c’est une adhésion à l’avenir – et une adhésion à un avenir révolutionnaire parce qu’on sera chacun parfaitement individualisé. L’homme sensible s’individualise déjà en ce moment, et ce, à mesure qu’il opte pour son identité, à mesure qu’il opte pour sa liberté, à mesure qu’il opte pour sa conscience, hop hop hop. L’homme hier encore tout décousu par la divergence de ses sources d’influence décide au bout du compte de reconstruire sa pleine cohérence. Et ce ce chantier s’autogénère ! L’homme pourra voter pour quelque chose qui lui sied parfaitement, parce que son senti sera complet et vice versa : son senti sera complet parce qu’il s’orientera en direction de ce qui lui conviendra parfaitement. L’homme embrassera sa réalité et il la palpera directement, sans l’intermédiaire des impressions.

    La pénétration de la science cosmique permet à l’homme de définir par lui-même la structure énergétique fondamentale qui constitue sa conscience, La pénétration de la science cosmique commence quand son outil central, l’ego, se transmute, et que l’homme remet en question la vraie fonction potentielle de l’ego, celle qui sert réellement pour son usage et avantage. Or, l’ego s’avère être non seulement un outil (outil de canalisation de la conscience et puissant outil d’émancipation), mais l’ego s’avère être lui-même. L’ego est l’homme lui-même de même et autant que le double est l’homme lui-même. Les deux fusionnent graduellement alors que l’ego lui-même entre dans une volonté très soutenue de voir tout ce l,esprit lui fait vivre en le pénétrant. C’est le travail de l’esprit qui rencontre l’ego quand l’ego peut se percevoir lui-même au niveau de ce qui se passe en lui-même, c.a.d. au niveau de ce qui passe en lui-même. Par la présence de l,esprit, l’ego enfin se perçoit lui-même au niveau de l’énergie, et non plus psychologiquement comme avant. L’ego a la volonté très soutenue de percevoir l’énergie qu’il accepte plus ou moins consciemment d’avaler. Cette capacité objective de perception fait partie de la pénétration de la science cosmique. L’arrivée de la sensibilité et de l’objectivité de l’ego correspond à la restauration de sa fonction parce qu’elle permet d’améliorer son discernement et son autorité. L’ego devenu scientifique, c,a,d, objectif et sensible, voit que cette énergie qu’il « avale » se différencie en une énergie de désordre et une énergie d’ordre. C’est soudain facile pour l’ego objectif et sensible de les séparer afin de ne plus avaler des tonnes d’énergie de désordre comme avant. L’ego ressent que l’énergie de désordre le vampirise en le subjectivant avec des formes, c’est l’ancienne mentation psychologique et zombiesque qui se fait ressusciter pour la bonne cause. Et en alternance avec elle, il y a l’énergie d’ordre, dont l’ego découvre qu’elle l’amène, en coulisses et hors des formes, à ÉVOLUER, c.a.d. à se dévampiriser du désordre.

  • #2

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:16)

    2 Bernard
    L’homme a toujours voulu, a toujours cherché à être bien dans sa peau. Il a cherché le bonheur, pendant l’involution, comme moyen plus ou moins satisfaisant pour y arriver, mais lorsque la vie le frappe ou l’expérience de la vie le frappe difficilement, il n’a pas les moyens pour gérer l’expérience parce qu’il est seul. Et la raison pour laquelle il est seul, c’est parce qu’il n’a pas suffisamment de conscience télépathique pour se délivrer de la réflexion. Nous avons considéré ou nous considérons la réflexion comme étant le patrimoine psychologique de l’humanité parce que ça fait partie de notre évolution, de notre développement, les philosophies nous l’ont enseignée, l’expérience psychologique nous l’a déterminée.

    Edwige
    L'homme a toujours eu à portée de main des gadgets ou des substituts pour oublier ses souffrances, se croire et faire croire qu'il est heureux… Lorsqu'un évènement traumatisant arrive il se casse comme un chêne alors qu'il plierait comme un roseau s'il savait qu’il n’est pas tout seul. Pas tout seul signifiant habité par son esprit et son double cosmique et relié à des intelligences universelles, par une conscience télépathique qui abolit toute réflexion du mental inférieur.

    Josée
    La réflexion empêche d’être bien dans sa peau parce que, derrière chaque réflexion, il y a un autre discours nourri subliminalement. Par exemple, derrière la plus brillante réflexion qui pourrait foisonner dans un cercle philosophique, il y aura toujours un pessimisme convaincu ou un optimisme convaincu qui cherche à convaincre autrui sous des airs « méditatifs ». Pendant l’involution, on se fait imposer cette épuisante dichotomie. Parce qu’on ne dispose d’aucun éclairage, on s’en laisse faire prisonnier. De quoi sommes nous prisonniers ? De notre quête de bonheur. C’est vrai pour le pessimiste comme pour l’optimiste. Chacun devient avec le temps prisonnier de la quête de ce fameux bonheur sur-publicisé précisément parce qu’on n’en voit pas la face cachée qui est cette impression d’être impuissant et persécuté par le malheur.

    Quand sévit la crise au détour des jours, la réflexion nous pousse vers de vieux réflexes qui nous refossilisent encore une fois, on est tendu et première chose qu’on sait, on casse. S’activer à l’étage de la réflexion raidit les nerfs et agite les neurones alors que faire le vide à cet étage en passant au plan mental supérieur restaure l’élasticité de tout notre être en dénonçant le mensonge qui dit qu’on est seul avec notre crise. Rien n’est plus faux, ça nous calme toujours de nous le rappeler.

  • #3

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:17)

    3 Bernard
    Nous avons considéré ou nous considérons la réflexion comme étant le patrimoine psychologique de l’humanité, parce que ça fait partie de notre évolution, de notre développement, les philosophies nous l’ont enseignée, l’expérience psychologique nous l’a déterminée. Nous vivons un déterminisme psychologique extrêmement puissant, et ce déterminisme psychologique dure depuis des millénaires et se renforce de plus en plus, mais viendra le point, dans la courbe d’évolution de l’homme, dans le développement de l’homme, où il y aura une brisure, pas nécessairement radicale, mais il y aura une brisure entre le mouvement de la conscience vers la réflexion et un détournement de cette conscience vers la télépathie. C’est au point où la direction de l’évolution de la conscience va indiquer à l’homme, en tant qu’individu, que sa conscience personnelle est beaucoup plus complexe que semble le pointer sa vie psychologique, et que sa conscience personnelle, en réalité, déverse intimement dans un vaste réservoir de conscience universelle, mais un réservoir de conscience universelle qui n’est pas spirituel en essence, mais totalement mental en essence.

    Edwige
    Durant le processus de conscientisation, peu à peu l'ego sort de ses conditionnements pour passer, selon sa programmation, d'une conscience réflexive dans le mental inférieur à une consciente télépathique dans le mental supérieur. Cette nouvelle conscience le sortira d'une compréhension psychologique spirituelle pour l'amener à une conscience mentale vibratoire universelle.

    Josée
    C’est depuis qu’elle existe que la réflexion est vantée, prêchée, pointée du doigt comme terreau originel de tous les progrès dans toutes les sphères d’activité planétaire. Mais cette erreur (parce que, si on regarde ça objectivement, c’est une erreur) ne pouvait qu’être maintenue - en tant que seul moyen d’aborder chacun son expérience. Quand on est voué à l’inconscience, ce qui nous sert de conscience ne peut être qu’un mode d’approche « psycho-logique ». Tant qu’elle est « psycho-logique », l’expérience ne peut que continuer à répéter ses erreurs et creuser son trou. C’est avec le développement de l’objectivité que la réflexion se révèle décevante et anxiogène et qu’elle perd abruptement son attrait. Mais le vide mental est impossible. Alors par quoi la remplacer ? Par une migration graduelle vers des niveaux de mentation réellement créatifs car interactifs avec le cosmos.

    L’ego n’est jamais vide, il change de contenu mais ne cesse de servir en tant que lieu de la conscience. Il en est le berceau car la conscience s’y éveille. Lui-même s’éveille, s’active, gagne en fréquence. Le contenu spirituel le rendait passif. Le contenu psychologique le gardait stagnant. L’orgueil le rendait statique. Le nouveau contenu est en interaction avec lui. Plus l’ego relève le défi d’ajuster ce qu’il canalise, plus ce qu’il canalise est facile à ajuster. Regardez le cosmos et vous y trouverez de la facilité créative.

  • #4

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:17)

    4 Bernard
    La conscience, le concept, les concepts, les vues que nous avons eus pendant l’évolution de la conscience de l’homme, la conscience spirituelle de l’homme comme étant le plus élevé niveau d’évolution, c’est une illusion de l’involution. C’est une illusion astrale de l’involution et ça ne donne à l’homme aucune identité fondamentale et ça ne permet aucunement à l’homme d’être en conscience prépersonnelle avec des niveaux d’intelligence qui font partie de sa mentation universelle et du lien universel avec lui en tant qu’être protégé par la lumière.

    Edwige
    Tout ce qui a fait croire à l'humain qu'il avait atteint le sommet de sa conscience spirituellement n'était qu'illusion astrale, elle n'a fait que voiler sa réelle identité dans une conscience infériorisée. De fait il a subi le "mensonge cosmique" qui a rompu le contact avec son double et les mondes universels, son canal télépathique également a été opacifié l'empêchant ainsi d'entrer dans une télépsychie mentale avec sa contrepartie lumineuse cosmique et la lumière de la source universelle.

    Josée
    Quand notre conscience est-elle réelle, quand est-elle illusoire ? Peut-on le discerner émotionnellement ? oui en ressentant les choses dans un état de calme pour voir si notre conscience nous y aide ou nous y nuit. Si la pensée nous aide à nous savoir dans notre identité, on est en affaires avec le cosmos. Pourquoi est-ce que notre identité ne peut pas venir de ce qu’on croit être selon notre foi, notre culture, notre milieu professionnel, social ou familial ? C’est parce qu’il n’y a pas d’identité sans savoir et qu’on n’est pas capable de savoir tant qu’on est capable de croire ! Comment fait-on pour savoir ? Pour savoir, se savoir, savoir son identité, il faut être ubique : à la fois ici en bas normal et au-delà des forces planétaires en haut, cosmique. Parce que les forces planétaires ne génèrent que de la chimère, il n’y a ici bas que le verbe croire, c.a.d. de la brume. Il n’y a de conscience que dans la vie, le mouvement, l’expansion de la conscience. Notre mental doit mettre un pied sur son propre territoire : ce second plan, véritable plan d’origine. Aussi longtemps qu’il est restreint au plan planétaire, l’homme est inconscient et, dans son mental rogné, le mot « Conscience » est un miroir aux alouettes face auquel il est l’alouette qui vient y mourir.

    Tant qu’il ne restaure pas son contact télépathique, l’homme contemporain est désemparé et prêt à s’accrocher à n’importe quoi. La spiritualité a toujours été une pseudo conscience auréolée d’une si bonne réputation dans l’humanité que l’ignorant s’y est toujours jeté comme sur la valeur sûre qui manquait à sa vie. Et la spiritualité contemporaine ? Elle est le guide d’instruction idéal pour traverser le chaos actuel. Enfin, on s’en persuade si ce qu’on veut, c’est croire encore plus à la supériorité du divin ? la spiritualité contemporaine ? C’est le nouveau code initiatique pour qui veut s’emballer, s’enfirouaper, se vautrer jusqu’aux ouïes dans. C’est le nouveau plaidoyer des forces de domination présenté par les mythes asservissants qui nous l’ont fait historiquement avaler. On a tous les mythes d’antan aujourd’hui sur le marché, ressuscités au goût californien pour des consommateurs de plus en plus profondément inconscients de leur propre nature. Ce n’est rien d’autre que le très occulte « mensonge cosmique » mais caché, camouflé en science de l’occulte, comme si, par l’ajout de dogmes, on pouvait accéder au mystère.

  • #5

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:18)

    5 Bernard
    Au cours de l’évolution, lorsque le passage se fera de l’involution à l’évolution, l’homme s’apercevra que les intentions ou les bonnes intentions ou les grands désirs spirituels qui ont marqué son involution et qui ont protégé sa conscience morale, qui ont protégé son ego contre les afflux extrêmement souvent titanesques de la vie, sont en réalité des aspects simplement primaires d’une conscience systémique. L’homme n’est pas un être spirituel. Dans sa définition ultimement universelle, dans son développement universel, l’homme n’est pas un être spirituel, parce qu’il est un être qui peut accéder à ce que nous appelons une intelligence propre. Une intelligence propre, c’est une forme d’intelligence qui n’est pas basée aucunement sur les autorités extérieures, qui n’est pas basée aucunement sur les systèmes créés pendant l’involution, donc qui est totalement libre des philosophies, des systèmes de pensée, des idéologies ou des mécanismes de réflexion créés pour son support psychologique afin de protéger les États, les sociétés qui ont sur lui une certaine autorité au niveau gestionnaire.

    Edwige
    L'humain qui s'est toujours cru protégé des influences astrales, par l'autorité sacrée de ses instances spirituelles à, en fait, subit la dictature et l'autoritarisme de la gouvernance luciférienne des hommes par le contrôle et la régence de la conscience de l'humanité. Cet humain de l'involution, conditionné jusqu'à la moelle, ne savait pas qu'il possédait une intelligence non dominable, Intelligence qui lui aurait fait rompre ses liens moraux avec les pensées réflectives des autorités intellectuelles et/ou spirituelles qui ont endoctriné sa conscience inférieure psychologisée.

    Josée
    Le désir le plus élevé en moralité n’est jamais qu’un désir, c.a.d. la manifestation d’un homme encore sous tutelle, encore plié à des lois qu’il ignore, un homme non déployé encore, un embryon de la personne capable seulement de croire. Mais cette personne est peut-être en train de naître, alors la personne peut, avec son intelligence propre, regarder son désir et le comprendre pour ce qu’il est, un ressort de la tutelle. La personne peut, avec son intelligence propre, regarder et comprendre la tutelle pour ce qu’elle est, un mensonge maternel dont les ressorts lui tiennent lieu d’intelligence. Car c’est une certaine intelligence particulière qui est nécessaire à l’homme embryonnaire : elle est fondée par exemple sur la compartimentation de l’humanité en unités de base auxquelles chacun s’identifie artificiellement. Cette intelligence intellectuelle prend son soutien d’un ordre hiérarchique entre les unités de base de cette compartimentation - ordre hiérarchique qui se réagence selon chaque « unité ». Vous allez dire qu’on sait tout ça. Non on croit tout ça intellectuellement.

    Le Dieu de chaque religion est un avatar des forces de domination. Cette figure n’est pas singulière mais plurielle, la domination de chaque race requérant un avatar fictif adapté à la mentalité de la race telle qu’elle s’était développée au début et telle que le demandait le scénario global des événements. L’homme a eu besoin d’être dominé de même que le bambin a besoin d’être dominé. La domination changeait la donne de son identité et brouillait toutes les cartes. Cette domination par la tutelle occulte luciférienne était relayée sur le plan matériel par toutes les autorités sociétales. Cette domination par la tutelle occulte luciférienne nous fut imposée plus particulièrement en tant que condition humaine par celles parmi ces autorités qui étaient plus particulièrement prêcheuses de dogmes, et donc encodeuses du bien et du mal.

  • #6

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:18)

    6 Bernard
    En réalité, sur le plan mental, l’homme est un être totalement libre. Il est un être absolument intelligent, mais non pas intelligent dans le sens que nous le croyons ou dans le sens que nous le voyons aujourd’hui, parce que notre notion d’intelligence est une notion extrêmement réduite, et c’est une notion qui est fondée sur la réflexion, l’analyse, le sens critique, mais qui ne permet pas à l’homme d’entrer en conversation télépathique avec les plans systémiques de sa conscience, d’où il est originalement ou avec lesquels il est originalement membre avant l’incarnation.

    Edwige
    L'homme mental est libre et intelligent d'une intelligence qui n'est pas mécanisée par la réflexion, l’analyse, le sens critique, mais d'une intelligence qui lui permet de communiquer télépathiquement avec les mondes d'où il vient avant ses expériences terrestres et avant ses multiples allers/retours en astral.

    Josée
    L’homme détient un avenir incomparable avec ce que lui a fait vivre son stade embryonnaire. Il porte la semence de sa légitime appartenance aux circuits universels. Il n’a pas à mériter cette promotion en récompense. À l’instar de l’embryon animal, l’homme inconscient est un potentiel non réalisé. Tout ce dont il a soif n’attend pour se réaliser que l’élévation de son taux énergétique, par laquelle l’homme deviendra en mesure de veiller à satisfaire lui-même ses besoins refoulés. Il pourra alors admettre que dans le fin fond de lui, il était d’accord avec l’écrasement de son taux d’énergie, l’écrasement de sa liberté et de sa capacité communicationnelle avec les circuits universels, parce que le scénario de sa fonction universelle demandait un temps sous la couveuse. Puis l’heure vient où sa liberté et sa capacité communicationnelle avec les circuits universels se restaurent dans un double déploiement complémentaire autogénéré par le fait que sa liberté et sa capacité communicationnelle se renchérissent mutuellement.

    L’homme mental a pour intelligence le contact qu’il entretient activement avec le plan de l’intelligence, le plan mental. Ce contact marque son retour à la source de sa conscience. L’homme se redonne accès à son plan source lors de sa réunification avec le monde qui était le sien quand il décida de s’incarner dans la matière. L’expérience matérielle l’avait équipée d’une capacité intellectuelle primaire et d’un imaginaire en circuit fermé qui explosent tous deux lors du rebranchement au réel.

  • #7

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:24)

    7 Bernard
    L’homme est un être systémique, incarné sur le plan matériel pour une évolution personnelle, pour un développement personnel au niveau de l’âme, mais qui doit retourner un jour à l’immortalité en laissant sa chair et en passant du plan astral, qui est le plan de la mort, au plan morontiel, qui est le plan systémique. Et pour que l’homme en arrive à réorganiser psychiquement son état mental, à pouvoir réaliser ce que veut dire réellement le mot intelligence, il doit se dissocier psychologiquement de sa pensée, en arriver à comprendre les manipulations extrêmement intenses de sa réflexion psychologique, donc de son ego, donc de sa personnalité, pour épouser des sentiers qui lui sont personnels, mais qui sont aussi en même temps universels, et qui lui permettront un jour de ne plus revenir sur le plan matériel et de construire d’autres civilisations dans d’autres espaces-temps qui ne font pas partie de la mémoire de la race.

    Edwige
    L'humain est doté d'une âme, qui a besoin d'expériences planétaires, avec des allers/retours dans le monde de la mort, et d'un ego, qui a besoin d'expériences émotionnelles qui forgent sa personnalité, son tempérament, son caractère. Le but ultime étant la fusion avec son double lumineux cosmique pour revenir à volonté dans les mondes immortels de ses origines. Il lui aura fallu au préalable passer l'épreuve du feu de l'initiation solaire avec des purges incessantes, des déconditionnements planétaire, émotionnels, mémoriels, structurels etc. Au final, devenu riche de l'énergie de toutes ses expériences, il sera dans une intelligence intégrale qui lui permettra de manutentionner ses énergies, en tant que matière première, pour ensemencer de nouvelles civilisations exemptes de toutes les influences venant du plan terrestre et astral, sur d’autres espace-temps stellaires.

    Josée
    Le plan de la mort a permis à la mémoire (l’âme de l’ego) de séjourner dans un sas avant de reprendre la suite de l’expérimentation planétaire. Avec chaque naissance additionnelle qui revenait des morts, le bagage multidimensionnel de l’humanité s’enrichissait des affres d’une incarnation flambant neuve. Second avantage d’avoir eu le plan de la mort : la population défunte fournissait à la population vivante ses valeurs psychologiques bonnes et mauvaises. Mais y voir un avantage demande de le regarder sans mettre notre propre charge émotive devant nos yeux. Car ces valeurs inspirées par le mort devenaient pour le vivant ses points sensibles, par lesquels le vivant se faisait hautement torturer : devoir maternel, charité, avarice, jalousie, succès, pornographie, etc. Tout échappatoire de ces valeurs était impossible vue l’ignorance où était le vivant, de son état. L’ego inconscient ne pouvait qu’aller dans la compensation, et ce, en utilisant la polarité du bon et du mauvais. Certes ce qu’on en vint à appeler la condition humaine devint l’objet d’études scientifiques mais le résultat de ces études était faussé par l’omission du facteur occulte (le plan de la mort) dans son observation de la condition humaine. La psychologie - toute faussée qu’elle soit par l’occultation de la machinerie - s’est néanmoins banalisée. Toute bienveillante qu’elle soit pour l’humanité, elle n’en est pas moins devenue une normalisation, donc une aliénation d’autant plus irréductible qu’elle est imperceptible. Il faut s’extraire de cette bulle psycho-logique collective. S’en extraire, c’est long, ça demande de prendre du recul du collectif, de ne plus se référer qu’à son propre équilibre multi-dimensionnel, ça demande donc d’équilibrer nos dimensions, de les décontaminer du plan de la mort. La psychologie ne permet pas à l’homme d’équilibrer ses diverses dimensions planétaires contaminées par le plan de la mort. Une dimension supplémentaire lui est nécessaire. C’est sa dimension profonde, centrale et fondamentale et elle surgit du cœur de lui quand l’homme est au bout du rouleau de la condition humaine.

  • #8

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:27)

    7 suite
    Josée en réponse à Edwige
    C’est intéressant de faire cette distinction comme quoi c’est l’âme qui remplit sa sacoche de vécu et c’est l’égo qui est sur la ligne de front. Ce n’est qu’en te lisant que la structure s’est mise en place. À l’âme de faire boule de neige et d’accumuler à chaque instant de la substance multidimensionnelle inconsciente partout où elle roule sa bosse. Et à l’ego à chaque instant de décider telle ou telle affaire – ou croire décider telle ou telle affaire … ou décider de croire telle ou telle affaire. À l’ego aussi de ressentir ce qui lui arrive dessus – éperdument, gratuitement, suivant son bagage de vécu. C’est si souffrant pour lui d’être pris par l’âme. Il a beau être myope, l’ego, il ressent, il souffre. Alors que fait-il ? Rien : il se caricaturise seulement, sa grimace suivant toujours sa même vieille ligne de torsion. Ça lui « développe une force de caractère » d’endurer toujours le même maudit karma. Le karma est immuable. Ce caractère distinctif que le vécu de l’âme lui configure se traduit par un automatisme spécifique… automatisme spécifique qui restreint sa capacité de rien faire d’autre que se tordre les corps plus et plus. Comme le vieux qui pue mais qui ne se sent plus, l’ego inconscient est devenu inapte à se rendre compte qu’il ne peut rien faire d’autre que se tordre les corps plus et plus. Et puis vient la fusion où cette torsion, cette caricature, devient le matériau pénétrable par l’esprit. Et puis vient la fusion où cette force de caractère devient le terreau fertile du renouveau mental.

  • #9

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:28)

    8 Bernard
    Lorsque nous disons que l’homme est un être intelligent, nous disons que, pour que l’homme bénéficie de son êtreté, il devra un jour passer de l’involution à l’évolution, c’est-à-dire prendre conscience du lien universel entre son ego, c’est-à-dire cette partie de lui qui est incarnée mais qui est aveuglée par la matière, et son esprit, c’est-à-dire cette partie de lui qui n’a rien à voir avec la notion spirituelle de l’esprit que nous avons donnée pendant l’involution à des entités spirituelles, mais réellement à des intelligences pures qui n’ont rien à voir avec les mythes formés, formulés par les religions pour l’homme de l’involution.

    Edwige
    L'ego évolué et entré dans son mental télépathique comprend que son esprit est pure lumière intelligente et non une entité spirituelle ou mythique religieuse.

    Josée
    Pour aller à la rencontre de son esprit, source de son existence dans le moindre de ses aspects, l’homme doit abandonner l’idée d’amener une valise. Il doit se réduire à sa plus simple expression, l’ego canal. Il doit donc pour y arriver s’adapter à la disparition de tous ses repères. L’idée qu’il se fait de son esprit subira de constantes modifications. Puis il saisira que toutes ces versions ne sont que des repères dont l’utilité est éphémère et qui doivent donc être abandonnés. L’esprit se révèle au bout du deuil total de son recours à des repères. L’esprit se montre intégralement quand disparaît intégralement la capacité de croire.

    L’homme mental sait que l’esprit qui pénètre le matériau de son âme est SON esprit, son identité réelle, sa permanence sur le plan mental, sa source. Toutes les figures religieuses furent des hologrammes scénarisés pour carburer la capacité de croire des races.

  • #10

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:29)

    9 Bernard
    L’homme de l’évolution, l’homme évolué, cet homme qui sera télépathe, qui aura une conscience mentale, qui comprendra la réflexion mais n’en sera pas piégé, qui aura le pouvoir, sur le plan matériel, de faire un discernement intégral entre le phénomène de penser et le phénomène de savoir, pourra en arriver à s’accrocher, à connecter avec des niveaux d’intelligence suffisamment avancés ou tellement avancés que, en tant qu’ego, en tant qu’ego, il n’existera plus. Lorsque l’homme cessera d’exister en tant qu’ego, il existera simplement en tant qu’être-lumière, il sera totalement fonctionnel sur le plan psychique, il aura une conscience totalement développée et il sera capable, sur le plan matériel et sur les autres plans, de converser avec des êtres qui pourront, avec le temps, selon son évolution, travailler avec lui.

    Edwige
    L'ego qui atteint le stade de "mental télépathe" a développé un discernement à toute épreuve, il distingue ce qui vient de la pensée et du savoir, il comprend parfaitement le mécanisme de la réflexion sans se faire tromper par lui. A ce stade de fusion avec son ego lumineux il sera apte à communiquer avec des intelligences de très hauts niveaux et à travailler avec eux, horizontalement, en tant qu'être de lumière.

    Josée
    L’idée que l’homme cessera d’exister en tant qu’ego peut être schématisée par la métaphore qui suit. Quel besoin a le tuyau de se valoriser lui-même alors que sa fonction ne valorise que la circulation qu’il permet ? Ou encore par cette allégorie : où est le tuyau dans le soleil ? Nulle part et pourtant, le soleil est une instance, un relai, un canal. Pour devenir un être, un émetteur de rayon, alors qu’on en est au stade de comprendre qu’on est un tuyau en train d’apprendre à ne pas s’obstruer lui-même, il faut reconnaître qu’il y a un processus. Ce processus profite de chaque instant car le temps est l’eau dans la plomberie supramentale. Ce processus réhabilite l’homme dans ses droits de mentation supramentale illimitée. L’homme à venir sera ce tuyau psychique qui « s’efface » pour exercer sa pleine fonction circulatoire. C’est un état inimaginable aujourd’hui, à cause de l’image sur laquelle on bute. Mais cet état parfaitement interne et privé viendra quand son taux vibratoire aura été atteint par l’individu, quand l’individu en question ne pourra plus buter sur l’image parce que l’orgueil se sera évaporé de l’ego comme un spectre qui aura fait son temps.

    Il n’y a jamais eu de fusion entre l’ego et le travail de sa mentation. Qu’importe le type de mentation involutive ou évolutive, la source ultime de la pensée est l’énergie pure créée sur le plan mental par des intelligences autoritaires, centripètes et lumineuses. Elles comprennent parmi leurs rangs les esprits-sources de tous les hommes, qu’ils en soient à l’étape involutive ou évolutive. L’esprit-source est la personne ressource de l’homme qui s’est délibérément rendu impur. Cette « personne ressource » est une onde restée pure parce qu’elle n’est jamais venue dans le temps. Cette « onde restée pure » a guidé l’exploration involutive et l’émancipation évolutive. L’émancipation évolutive restaure l’onde propre de l’homme, qui n’est pas très propre au moment de son éveil. Il lui faut tout de suite laver les draps. Ce grand nettoyage se crée conjointement par l’onde propre de l’homme et l’onde restée à l’abri loin de la terre. L’homme onde a voulu son incarnation dans le sommeil de l’inconscience totale. L’homme onde a voulu la suspension de son attribut fondamental, c.a.d. son identité. Il s’est lové dans le point aveugle d’une mentation mécanique, ne faisant appel qu’aux mécanismes liés au caractère spécifique de son avatar matériel, l’« ego », le 3e acteur, celui qui s’efface quand les deux ondes se rencontrent en lui. La réunification de l’onde propre de l’homme et de l’onde restée à l’abri loin de la terre est permise par cette lucidité de l’ego, cette translucidité.
    L’ego hier passif épouse aujourd’hui très créativement la complexité titanesque et rocambolesque du processus. Il permet qu’il soit guidé à s’ajuster à ce qu’il canalise, même si c’est à coups de baguettes (à coups de pensées).

  • #11

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:30)

    10 Bernard
    De l’intelligence, qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que ça demande ? Quelle est sa fondation ? Quelle est la fondation de ce phénomène de l’intelligence ? Si nous le regardons d’un point de vue psychique, d’un point de vue universel, d’un point de vue évolutionnaire, du point de vue d’une psychologie évolutionnaire, nous sommes forcés de considérer l’intelligence comme étant quelque chose qui n’appartient pas à l’ego. dans la mesure où vous avez de l’intelligence, vous sentez de l’intelligence, vous réfléchissez, vous vous sentez intelligent, vous pensez que vous êtes intelligent, dans la mesure où cette intelligence, où cette fraction de lumière qui fait partie de votre réalité appartient à l’ego, donc est trop colorée par l’ego, vous pouvez être assuré que vous n’êtes pas encore dans votre intelligence pure, vous êtes simplement dans un mouvement, dans un rayonnement de votre conscience qui, à votre niveau, pour votre développement, selon votre développement, selon votre évolution, vous permet d’expérimenter la vie sur la terre sans nécessairement comprendre la finalité de cette expérience, parce que l’homme n’a pas de conscience télépathique.

    Edwige
    Tant qu'il n'a pas atteint le stade de l'intelligence purifiée et mit en contact avec son double dans son mental télépathique, l’ego matériel n'est pas intelligent. En l'absence de ce contact télépathique, la fraction intelligente de la lumière de son esprit garde la coloration de ses conditionnements, ceci explique qu'il ne peut comprendre le sens vibratoire réel, et non psychologique, de ses expériences terrestres.

    Josée
    En tant que science vouée à une vue matérialiste de la vie, la psychologie situe la fondation de l’intelligence soit dans le comportement soit dans la parole de l’homme matériel. Malgré la bonne volonté qui la caractérise, la psychologie académique ne peut aller au bout de son humanisme et faire de l’intelligence un attribut réparti équitablement sur tous les humains. En même temps, elle observe l’existence de la face cachée de cet attribut, où se terre un manque d’intelligence, tel qu’un complexe de supériorité par exemple. Mais elle ne peut démasquer l’occulte de cette duplicité, de cette polarité. À cause de la polarité qui la structure et la rend statique, l’intelligence planétaire ne peut pas dénouer les pièges intrinsèques à chaque vie. L’homme pourra résoudre tous les défis de sa propre vie mais ne pourra le faire qu’en créant un pont occulte, d’égal à égal, entre son propre corps causal-morontiel-mental et le plan causal-morontiel-mental où circule le savoir pur qui en réalité lui sera dû une fois le pont rétabli.

  • #12

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:31)

    10 suite
    Josée en réponse à Edwige
    L’intellect est une manipulation à laquelle collabore l’orgueil inconscient de l’homme naïf. L’intellect étant inconscient ne peut que se prendre au sérieux et s’amuser à s’autodéfinir à partir de son ignorance. C’est une manipulation d’une sophistication impossible à schématiser tant qu’on baigne inconsciemment dans l’orgueil. On commence à avoir une certaine conscience de la nature de l’intellect quand on devient un peu plus curieux du travail derrière notre intellect et un peu moins curieux, par orgueil, de ce que nous radote notre intellect. Il faut avoir une certaine conscience pour pressentir derrière notre intellect 1) l’influence des populations décédées non réincarnées qui y mettent leurs valeurs, puis 2) derrière le mouvement de ces populations, l’existence d’autres, purement dominatrices qui les dynamisent et les gardent efficaces à nous violer mentalement de leurs « valeurs », puis 3) chapeautant toute cette manipulation, il y a les responsables de projet de cette bulle d’intelligence irréelle, dont peut être détectée l’obstination à émettre l’onde multidimensionnelle complexe qui la tient en place. L’onde de ces hautes instances vibratoires tient la bulle en place parce qu’elle est « généreuse » dans son alimentation. Tout ça, c’est la section planétaire de l’intellect composée de trois couches : celle d’où les morts nous influencent, celle d’où les morts sont dominés et celle d’où vient l’onde sophistiquée qui crée cet artifice. Heureusement, ce portrait n’est pas complet. Il y a encore autre chose au-dessus de ces trois couches, qui ne fait pas partie d’une quelconque mécanicité. C’est le plan relai de la source de l’énergie universelle, le plan mental. Hé oui, c’est la perfection du cosmos qui PERMET le tout. Il ne faut pas croire ce portrait rudimentaire -qui n’a qu’un mérite : faire goûter à l’ampleur de l’entreprise. L’intellect est un genre d’intérim qui subsiste en l'absence du contact télépathique avec l’étage supérieur, le plan mental, la source originelle derrière notre intellect. Pour comprendre - non pas intellectuellement mais vibratoirement - le sens de nos expériences terrestres, il nous faut tourner le dos à l’intérim et nous mettre en contact télépathique avec le cosmos qui seul nous en révélera l’astronomique manipulation.

  • #13

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:32)

    11 Bernard
    Qu’est-ce qu’une intelligence systémique ? une intelligence systémique, c’est une intelligence qui n’a jamais eu d’incarnation, qui n’a pas besoin d’incarnation et qui a toujours été en dehors de ce que nous appelons les lois planétaires. Une intelligence systémique, ce n’est pas une âme. C’est ce que nous appelons un esprit. Le mot esprit n’a AUCUNE signification, parce que le mot esprit est simplement un terme spirituel utilisé par l’homme de l’involution pour essayer de sentir, de mettre le doigt sur l’ineffabilité de certains royaumes, de certains niveaux, de certaines consciences, de certaines puissances, de certaines intelligences. Et l’homme ne peut pas mettre le doigt sur ces choses, sur ces intelligences, sur ces lumières, parce qu’il n’est pas suffisamment conscient. Pour le moment, nous utilisons le mot esprit. Et nous devrions, pour des raisons de développement inévitable, en arriver éventuellement à parler de conscience prépersonnelle. Au moins, nous commençons à déspiritualiser le concept de la liaison entre l’homme et les mondes invisibles, nous commençons déjà à superposer au-dessus du monde des âmes, donc des mémoires incarnées, des états de conscience, de puissance, de conscience créative qui font partie du fameux système jamais compris de l’homme, de la divinité.

    Edwige
    Notre conscience prépersonnelle (anciennement appelé esprit) est une lumière universelle, une intelligence systémique qui éclaire partiellement l'ego durant sa vie planétaire. Au stade de l'initiation solaire cette lumière intelligente va buriner, abraser, polir, nettoyer l'ego de son astralité planétaire, pour le faire entrer dans un mouvement d'ouverture vers une conscience supérieure. Progressivement il comprendra ce qu'est le monde astral de la mort, le plan des entités et de l'âme en attente de réincarnation.

    Josée
    L’homme est rendu à l’étape du passage de l’inconscience des choses à la conscience des choses. Un même outil le libère de l’inconscience et l’attelle à la conscience : la volonté. La volonté est une dépense d’énergie extra-ordinaire parce qu’elle nous demande un niveau de concentration extrême (mais froid) autant quand elle nous libère de l’inconscience que quand elle nous attelle à la conscience. Mais d’un bord, la volonté est un simple bistouri et de l’autre elle est un oscilloscope sophistiqué et amplificateur. D’un bord, pour se délier de l’inconscience, l’homme use très courageusement de son bistouri à même ses corps à vif, tandis que de l’autre, l’homme use très courageusement de son oscilloscope pour amplifier sa conscience vibratoire et détecter la vibration qui lui est aliène. Dans cette conscience vibratoire, toutes les choses de la vie perdent leur sens aliène et prennent une nouvelle définition qui va en se précisant. Les deux choses les plus importantes de la vie, l’esprit et l’homme, finiront par être conscientisées, intégrées et définissables par le verbe. L’homme alors fera un avec l’esprit et ces deux choses ne seront plus qu’un point d’intersection des ondes matérielles et atemporelles. La fusion est un continuum exploratoire des puissances de senti et d’échange de l’esprit et de l’homme.

    Il faut ajuster l’ego, pour permettre à l’éther « astral » d’absorber la force de « l’Esprit »… parce que si l’ego est laissé à lui-même, alors les forces « astrales » perpétuent leur mainmise sur « LES esprits ». Dans cet énoncé présenté à titre d’illustration, on voit comment l’utilisation des mots dans diverses expressions du jargon initiatique peut apporter des nuances de sens. Le plan mental, plan du Verbe, a jonché le jargon initiatique de ces petits pièges qui nous forcent à procéder le plus drastiquement possible à notre désintellectualisation, sous peine de trahir notre vibration, notre verbe, qui avant d’être verbalisé est vibratoire et précis. Certains processus demanderont de tourner le dos à l’instruction de bernard – qui justement a été ponctuée d’incohérences dans ce but même. Mais une chose est commune à tous les processus : c’est de délaisser les mots au profit de notre propre ouverture au savoir. L’homme doit vouloir le suivre, son tortueux processus, afin de réintégrer sa conscience.

  • #14

    Josée (lundi, 03 février 2020)

    12 Bernard
    Nous avons fait l’erreur, pendant l’involution, de faire l’équation, de faire un parallèle, d’établir une relation absolue entre l’homme et Dieu, et ça n’existe pas, parce que le concept de Dieu, c’est un concept qui a été utilisé pendant l’involution pour permettre à l’homme de saisir l’ineffable, sans pouvoir le comprendre dans sa nature, dans son architecture et dans le caractère systémique de sa composition. L’homme sera obligé un jour d’éliminer le concept de Dieu et le remplacer par d’autres notions qui viendront à lui au fur et à mesure qu’il deviendra de plus en plus télépathe et de plus en plus prépersonnel, c’est-à-dire de moins en moins impliqué dans la conscience de son ego.

    Edwige
    De tout temps l'homme n'a jamais compris le caractère universel systémique de ce qu'il a nommé Dieu. Comme pour l'esprit, cette entité surgie de nulle part a été un support conceptuel pour réfléchir et croire à une divinité rédemptrice supérieure, au-dessus de sa tête, se sentant ainsi moins seul dans l'espoir d'un avenir meilleurs. Lorsqu'il sera intégralement fusionné, avec son double prépersonnel, et devenu mentalement télépathe il changera son vocabulaire et ses symboliques astrales qui ont servi à l'évolution de sa conscience planétaire.

    Josée
    On ne peut pas juxtaposer au concept de « relation » l’épithète « absolue », même pour désigner l’interaction entre l’homme et une magnitude. Tout est en mouvement dans l’univers, incluant l’interaction entre l’homme et une magnitude. Elle est là la magnitude : dans ce mouvement universel. L’universalité du mouvement est partout, même à l’intérieur de cette bulle de temps qu’est l’involution, de la même façon que les silences ont leur place dans une symphonie. Seul le mouvement est irréductible.

    La sainte trinité réunissait les symboles du Christ (qui apportait l’amour sur terre), de l’Esprit saint (qui apportait l’intelligence sur terre) et de Dieu (bah, là il n’y avait rien comme info spécifique). On nous disait de l’esprit saint qu’il avait guidé les apôtres pour qu’ils « répandent la bonne nouvelle » mais rien de sa fonction depuis 2000 ans. Pour plaire à dieu, désolé, pas de notre faute, on n’avait plus l’esprit saint. Subséquemment il ne restait que l’amour tel que présenté par le Christ dans les évangiles. Alors pour plaire à dieu on se forçait à aimer sans l’esprit saint. Mais sans l’esprit saint, impossible de comprendre ce que voulait dire ce mot semé spirituellement il y a 2000 ans. L’amour devra survivre à l’énergie astrale qu’il portait. Une fois dévidé de tout ce qu’il aura porté d’énergie astrale tenace et pernicieuse, l’amour surgira, triomphal, en tant qu’absolue absence d’astral. La touche finale de l’évidage sera la touche finale de la fusion. Les mots sont chargés d’astralité psychomatérielle. Ils ne servent en ce moment que pour concrétiser la transition. Avec les années, ils correspondront de plus en plus à l’énergie précise qui sera en cours d’intégration au moment de leur émission. En s’intégrant à notre égo-conscience, ces mots-rayons morontialiseront nos corps et nos neurales (=cellules nerveuses). Les mots ne survivront pas dans leur forme actuelle. Leur charge raciale n’aura plussa place dans la verbalisation instantanée, faite dans le « vide astral ». Les mots morontiels exprimeront le plein mental des rayons fondamentaux de la création. Ces mots du futur, ce verbe du futur, la parole du futur renouvelleront la création.

  • #15

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:34)

    13 Bernard
    Les mystères, dans le fond, n’existent pas. Ce sont simplement des voiles qui ont été érigés sur la conscience de l’homme, pour sa protection, afin de permettre que le concept de Dieu, pendant l’involution, serve à son développement moral, alors qu’aujourd’hui on s’aperçoit que le concept de Dieu est en train de rendre l’homme extrêmement immoral. Ce qui retarde le plus le développement de la conscience humaine sur la terre, c’est le concept de l’autorité.

    Edwige
    Un immense paradoxe creuse le fossé entre l'homme de l'involution et celui de l'évolution par le concept d'un Dieu qui divise l'humanité plus qu'il ne la rapproche. Ce qui, loin dans le temps, fut mis en place pour sa protection se retourne contre lui parce que en se réveillant de ses illusions il ne supporte plus aucune forme d'autorité d'où qu'elle vienne !!!

    Josée
    Le concept de Dieu fut instigué dans toutes les poches de civilisation en tant qu’autorité morale civilisatrice. Mais toute cette conceptualisation artificielle venait d’une intelligence limitée et faillible. La fonction civilisatrice du concept de Dieu ne put jamais être parfaitement fonctionnelle. Elle est chamboulée par la tendance à la division qui ne cesse d’augmenter entre les diverses poches de civilisation. Si la tendance à la division ne peut qu’augmenter, c’est à cause des divers dogmes fortuits associés aux divers concepts de Dieu. La division augmente aussi à cause du fait que le recours aux dogmes ne peut qu’augmenter. On sait tous pourquoi le recours aux dogmes ne peut qu’augmenter : à cause de la peur et du désir qui la compense. En effet l’irréductible intensification de la peur, qu’elle soit animale ou spirituelle, cause l’irréductible intensification de sa compensation, le désir, animal ou spirituel.

    Le mot dieu porte en lui la division parce qu’il renvoie à la mémoire de races différentes. Il porte la division interne de l’homme également, par laquelle l’homme se voit obligé de plaire à dieu dont il est séparé. Mais la course à faire le bien s’avère plus riche en pathos qu’en copinage avec le divin. La course ne s’arrête pas pour si peu, l’homme n’a ni la marge de manœuvre ni les couilles pour risquer de déplaire au regard suprême. Un jour la marmite du bien et du mal perd son couvercle, la pression tombe, on donne un coup de pied dans la soupe aux poissons, la soupe aux poires. Il n’y a d’autre bien que de s’ajuster avec son propre besoin et d’autre mal que celui de ne pas le faire, que ce soit au nom de dieu ou de ses innombrables représentants sur terre.

  • #16

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:34)

    14 Bernard
    Il y a des êtres sur la terre qui sont extrêmement avancés dans ce qu’on appelle la conscience critique ou la conscience analytique ou la conscience dialectique, et ces êtres-là ont la capacité, pour des raisons d’autorité, pour des raisons que j’appelle des raisons d’abus de l’autre, ont la capacité d’empêcher l’homme, l’individu de vibrer sa propre intelligence. Parce que l’homme n’est pas dans sa propre intelligence. Si l’homme était en dehors de l’évolution, en dehors de l’involution, il serait dans sa propre intelligence, et il n’y a aucune autorité dans le monde ou en dehors du monde, même sur le plan astral, sur le plan morontiel, qui pourrait réduire, diminuer, si vous voulez, son intelligence. L’homme serait réellement un être libre. Ce n’est pas le cas, parce que l’homme est fasciné par l’autorité, et la plus grande autorité et le plus grand concept de l’autorité qui a été créé au-dessus de sa conscience, c’est le concept de Dieu. Tant que l’homme n’en arrivera pas un jour à pouvoir se déposséder de ce concept pour le remplacer avec quelque chose de plus scientifique, de plus réel, de plus systémique, l’homme demeurera un être spirituel et il sera obligé, sur le plan matériel, d’invoquer l’autorité des systèmes ou des idéologies ou des religions ou des spiritualités pour pouvoir sentir qu’il est bien dans sa peau.

    Edwige
    Ne pas pouvoir vibrer de sa propre intelligence c'est ne pas être dans sa propre autorité intérieure mais sous le joug de l'autorité d'un autre, fût-il Dieu, ou ses représentant sur terre dans quelque domaine que ce soit. Remplacer cette déification par des concepts énergétiques cosmiques rend libre du concept de Dieu, avec son poids hiérarchique sur la conscience, libre des croyances en une autorité suprême qui cautionne les idées polarisées du bien et/ou du mal et les actes de sa vie sans culpabilités, ni repentances, ni jugement dernier.

    Josée
    La critique dialectique n’est pas le triomphe de l’esprit humain comme on le pense dans les chapelles intellectuelles ou dans les cercles d’exégètes où se formente un tel harnachement du mental. Au moins on est moins naïf à ce sujet dans les boîtes de publicité et les milieux politiques, où la critique dialectique est assumée en tant qu’activité stratégique visant à exploiter la naïveté ambiante. Les philosophes et les religieux qui sur-structurent et sur-polarisent leur parole le font par désir de dominer la naïveté ambiante même s’ils sont en sont inconscients. Victimes de leur propre naïveté, ils sont instrumentalisés par les forces de domination. C’est la naïveté généralisée, celle des masses comme celle de ses manipulateurs, qui permet la domination occulte en coulisses de la condition humaine. C’est un système invisible mais précis par lequel la naïveté de l’un nourrit et carbure la domination de l’autre, qui elle est dominée occultement à son insu. Partout il y a naïveté, parce que partout il y a un appel d’air, une invitation, une quête d’autorité mentale. C’est pourquoi, tant que l’homme sera sans intelligence, il se cherchera une loi d’une moralité qui fait son affaire.

    Nous avons une intelligence propre, elle est là notre autorité. Notre intelligence, notre autorité, sont mouvantes, fluides, créatives et instantanées, toujours à renouveler, comme le temps qui est une création renouvelée à chaque instant. Tant de circulation n’a que faire de concepts fixes. Tant que l’interaction télépathique ne circule pas dans l’ego, celui-ci est lié à l’autorité divine par la patte comme une chèvre à son poteau. Tous les concepts spirituels historiques sont pourvus d’un poids émotionnel irréductible. Tous les concepts spirituels historiques sont capables de magnétiser n’importe quel ego qui endosse la supposée valeur de cette quincaillerie de dogmes Tous les concepts spirituels historiques sont dominateurs. Même le concept de Dieu le plus proche du réel ne pourra jamais faire de l’homme moderne, toujours naïf, qu’un être dominé.

  • #17

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:35)

    15 Bernard
    C’est très dangereux, de l’autorité, je parle de l’autorité qui s’assied sur la conscience de l’homme, qui s’imprègne dans la conscience de l’homme, qui lui enlève sa propre lumière, pour remplacer la lumière de l’homme par ses ombres.
    Pendant l’involution, nous avons voulu nous élever en conscience, nous avons voulu nous élever en spiritualité, nous sommes allés vers des maîtres, nous sommes allés vers des couvents, nous sommes allés vers des conventums, nous sommes allés vers des sociétés secrètes, nous avons fait des chemins, et au bout de ces chemins nous avons trouvé des maîtres, nous avons trouvé des autorités, et nous avons réalisé au cours des années que, ah… il y a toujours une lacune, toujours une lacune.

    Edwige
    Rien ni personne sur terre n'a le pouvoir d'égaler l'autorité intérieure de l'humain qui est dans la lumière de son esprit, de son double et dans son mental télépathique universel. Croire trouver un équilibre psychologique, spirituel chez un maitre c'est se soumettre à une autorité sous domination spirituelle astrale fusse-t-elle de haut niveau

    Josée
    Tu ne peux pas être dans cette belle bulle appelée la civilisation et être stable, parce que tu n’es pas en moyen de maîtriser l’électrochoc qui te saisit quand les fils se touchent. Tu ne peux pas neutraliser instantanément le réflexe de souffrir atrocement quand ta vie pèse sur ton point faible, ton point sensible, ton point d’impuissance, ton point aveugle. Les plus grands maîtres y trouvent leur waterloo, malgré ces armées de formules stabilisantes qui leur donnent des airs de roc de gibraltar. L’air ne fait pas la chanson. La chanson, elle tintera à tes oreilles quand tu sortiras de toutes tes quêtes, que ta quête soit une quête de te trouver un maître ou une quête d’avoir l’air d’être un maître. Être c’est trouver.

    S’il t’arrivait que melchisédeck ou noé se montraient devant tes yeux alors même que tu « sais que tes yeux sont aguerris par l’Apocalypse » et blablabla, tu seras tenté d’y croire de façon automatique. Tu croiras y mettre simplement un peu de déférence et de considération alors qu’en fait tu seras en train de t’investir dans un mouvement sans discernement. Toute fascination est un endossement du mensonge cosmique et coûte très cher, surtout si on est évolué. Les stades d’évolution avancée demandent des des niveaux de tests élevés. Ça va loin l’autorité que tu dois développer. Quand même les plus hautes figures de l’histoire comme melchisédeck ou noé s’avéraient réincarnées et désireux de te parler, rien dans ton ego ne doit privilégier leur « créativité » sur la tienne. Seul ton endossement passif du mensonge cosmique va t’empêcher de réaliser vibratoirement ce qui se passe vraiment, comme par exemple que melchisédeck et noé sont des hologrammes lucifériens fabriqués pour leur puissance de tentation à te faire retomber dans la marmite spirituelle. Ça c’est au niveau astral. Au niveau mental supérieur, l’événement même de l’hologramme est programmé pour t’offrir la chance de faire de cette épreuve une preuve. Il en va de même avec toute rencontre avec quiconque t’impressionne. À toi d’échanger avec l’autre dans sa créativité et de goûter au plaisir de sentir celle-ci syntonisée à ta propre créativité. Dis-toi sans brimer le flot ni te laisser brimer par les mots,

  • #18

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:35)

    16 Bernard
    Au lieu d’étudier l’autorité, nous étudions la spiritualité, nous étudions la religion, nous étudions l’idéologie. Nous ne regardons pas qu’est-ce que c’est, de l’autorité. De l’autorité, c’est de la compression de l’ego-lumière. Donc un homme qui subit de l’autorité d’un homme ou de quelque chose, son ego-lumière, son être-lumière est comprimé. Et si son être-lumière est comprimé, il ne peut pas libérer cette lumière. Et s’il ne peut pas libérer cette lumière, il ne peut pas être parfaitement sa lumière. Ça, c’est le danger de l’autorité. Le plus grand danger de l’homme, c’est de ne pas comprendre, de ne pas étudier, de ne pas savoir que l’autorité comprime son énergie, comprime sa lumière, lui enlève sa lumière. Parce que quand quelqu’un impose son autorité sur vous, qu’est-ce qu’il arrive de vous ? Vous n’êtes plus. Et vous osez, pour des raisons émotionnelles, pour des raisons affectives, pour des raisons de collaboration avec la mémoire de la race, vous osez dire que… ah… votre Dieu est grand, que votre Dieu est meilleur qu’un autre, que votre idéologie est la meilleure, et vous tombez dans la même trappe que les autres, vous imposez sur les autres votre autorité, et le phénomène continue, se perpétue dans la société.

    Edwige
    Un ego sous le joug d'un autre ego perd le pouvoir de la lumière de son esprit, de son double et des plans universels. Il est empêché de vibrer par sa propre lumière, il s'éteint, il n'a plus d'identité. Il n'est pas autonome, il est fondu, il est dominé, il a disparu dans la conscience d'autre puis il englobe les autres dans cette conscience qui n'est pas la sienne mais celle de l'autorité qui l'a englouti.

    Josée
    L’autorité, il y a deux façons de la regarder, la nouvelle et l’ancienne. Dans la nouvelle façon, on regarde l’autorité comme une puissance centrique, c.a.d. un potentiel qui appartient à tous. Dans l’ancienne façon, on regarde l’autorité comme un attribut relationnel qui – oui - a été saupoudré de façon fortuite dans l’humanité en tant que relai de l’autorité des forces de dominations astro-spirituelles. Elle est cette onde qui fut instiguée et secrétée dans le cosmos parce qu’il fallait cette forme de rapport entre l’invisible et l’humanité pour gérer la civilisation et la tenir en vie (cette « vie » fut-elle zombie). En quoi consiste la solution à prendre face à l’immensité de ce phénomène ? La solution à prendre consiste en quelque chose d’inédit. Pas en notre capacité d’imprimer notre propre autorité astrale à notre tour. Pas en notre capacité de fuir l’autorité astrale, de la craindre etc. Pas en notre capacité de la réprouver, non plus. Loin de toutes ces avenues, la solution consiste en notre capacité de cesser de regarder l’autorité comme un attribut relationnel saupoudré de façon fortuite dans l’humanité, pour commencer à regarder l’autorité comme une puissance centrique, c.a.d. un potentiel qui appartient à tous. Il s’agit, dans l’instant de la confrontation mentale au phénomène, qu’il soit interne ou externe, d’opter pour notre liberté. Cette solution demande d’être très solide intérieurement, ou, en moins de mots, elle demande d’être. Être, c’est être dans sa propre autorité, et elle est là, la puissance qui appartiendra éventuellement à quiconque existe.
    .
    L’homme a pour ennemi ses propres tendances spirituelles à la soumission à autrui. Plus l’homme est libre d’autrui, plus il est fait d’éther, plus il est sensible et donc plus il doit être libre. Car l’homme sensible souffre profondément de l’impermanence de sa lumière ou de l’errance de son discernement. Il souffre vibratoirement chaque fois qu’il rate le test et prend le champ. La sensibilité le garde ainsi sur le chemin de la liberté, c.a.d le chemin où augmentent en lui la certitude et la puissance d’action qui lui créeront une facilité créative dans l’épreuve. Oui, certes, la domination excelle dans l’art de la mascarade mais la sensibilité vibratoire fera en sorte de mater tout ce qui est élan de soumission en nous. Chacun saura éventuellement démasquer chacun des tests répétés placés sur le chemin de sa liberté.

  • #19

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:36)

    17 Bernard
    Vous ne sentirez jamais votre intelligence tant que vous ne sentirez pas votre autorité Ce ne sont pas les doctorats qui vont vous donner de l’intelligence. Ce ne sont pas vos études universitaires qui vont vous donner de l’intelligence. Tant que vous n’aurez pas votre autorité, vous ne serez pas dans votre intelligence, parce qu’un homme qui est dans son autorité définit la réalité selon son taux de vibration, selon son évolution, il définit la réalité !

    Edwige
    Être dans son autorité ce n'est pas être autoritaire, c'est être intelligent de la lumière de sa conscience prépersonnelle et de son double connecté aux plans universel pour définir vibratoirement, télépathiquement sa propre réalité.

    Josée
    L’homme doit être ajusté pour vivre de sa propre intelligence et personne d’autre que lui-même ne peut l’ajuster. L’homme accomplira cette épuration extrêmement volontaire de lui-même. Tous ses penchants naïfs seront par lui maîtrisés. Le contrôle de soi est un concept qui sera revu à la hausse à mesure que l’homme entrera en possession de lui-même.

    Il n’y a qu’une intelligence capable de nous définir et de nous garder définis au cœur des mouvances événementielles. C’est l’intelligence qui s’éveille en nous quand on se rebranche aux circuits universels. C’est un rayon de la création que nous portons avec la même légitimité que n’importe quelle entité du plan mental. Nous commençons déjà à canaliser ce rayon, à l’irradier, à le rendre dans le monde. Notre nature solaire n’est qu’en suspension le temps que nous nous construisions chacun notre système morontiel individuel au cœur des mouvances événementielles. L’éclairage que nous commençons à générer pour nous définir contre vents et marées vient de nous parce que nous commençons à sortir des dogmes et à réintégrer les circuits de la lumière universelle. C’est scientifique quand on le vit.

  • #20

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:37)

    18 Bernard
    Si l’homme est en communication télépathique avec le plan mental et qu’il commence et qu’il veut, pour des raisons d’instruction, pour des raisons d’étude, poser des questions, mais qu’est-ce que c’est Dieu ? On va lui donner des réponses. Il aura des réponses. Mais les réponses qu’il aura seront ses réponses, et non pas des réponses qui ont été calquées sur la mémoire sombre d’une humanité involutive dont les états psychologiques les plus élevés étaient des formes réellement complexes et avancées de l’animisme humanitaire. C’est de l’animisme ! C’est de l’âme ! L’homme est de l’âme ! Il n’est pas de l’esprit, il est de l’âme ! Il est de la mémoire ! Consciente, inconsciente.

    Edwige
    L'ego qui est dans son mental télépathique reçoit des réponses à ses questions parce qu'elles viennent des plans d'intelligences universelles et non pas de la mémoire humaine planétaire ou astrale qui ne convient pas et ne vibre pas à son niveau d'évolution de conscience supérieure.

    Josée
    La civilisation est une bulle dans laquelle rebondissent une quantité croissante de concepts basés sur des concepts antérieurs, un peu comme la réaction en chaîne de la fission nucléaire. Les concepts circulent en circuit fermé alors l’homme dans sa faim de comprendre ne peut que happer au vol ce qui lui passe à portée dans cette mégabibliothèque. Puis l’heure vient pour lui, en tant qu’individu, de mettre tout ça en perspective. Il prend conscience de l’esprit, ce concept qui n’en est pas un finalement. L’homme voit qu’il y a un cosmos qui ne dépend pas de cette banque de données. C’est alors qu’il bénéficie d’un premier saut quantique qui déplace son point de vue. Il commence à se libérer de l’intellect, et ce faisant, se rend compte du fonctionnement de l’intellect -comme quoi il s’agit d’une réaction en chaîne comme en fission nucléaire. Ses concepts se bousculent alors qu’advient un repositionnement suivi de nombreux autres aussi révélateurs. Chaque nouvelle position de l’ego déclenche à nouveau le rejet de l’ensemble du contenu de sa mémoire, couche par couche, jusqu’à l’esprit - son esprit, qui tout ce temps là le guidait depuis le beau milieu de lui.

    Avoir des questions fait partie du processus de mutation de la conscience. Car la conscience mute : elle passe d’être confinée à l’intérieur de la bulle de temps - la mémoire humaine planétaire – à être télépathique. Avoir des questions – que celles-ci soient prises dans la bulle artificielle de l’intellect ou en voie d’en sortir - est intelligent. Sauf qu’avant, les réponses étaient artificielles. La nouvelle intelligence ne se compare pas à l’ancienne. Les réponses ne sont plus confinées à l’intérieur de la bulle de la mémoire humaine planétaire. Elles émanent de l’extérieur de cette bulle. Elles ressortent du travail d’un plan dont la fonction est de rencontrer ce qui vibre comme besoin dans l’univers. Ces réponses répondent à des besoins d’ordre. Loin d’être de la curiosité, ses questions deviennent des besoins réels qui propulsent son émancipation. L’homme ressent son besoin d’ordre évoluer à mesure qu’il s’extrait de la bulle de la mémoire humaine planétaire. C’est traduit par le fait que ses questions elles-mêmes relèvent de moins en moins de l’ancienne intelligence artificielle, pour originer de plus en plus du plan supramental, le plan même qui lui répondra.

  • #21

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:38)

    19 Bernard
    Le plus grand problème de l’homme sur la terre est le fait qu’il n’a pas d’autorité. Et il n’a pas d’autorité parce qu’il n’a pas d’identité. Et il n’a pas d’identité parce qu’il est en réflexion. Étant en réflexion, il est incapable d’appliquer les lois de la critique mentale à la critique psychologique, c’est-à-dire qu’il n’est pas capable de définir, par lui-même, les attributs extrêmement spectaculaires d’une conscience systémique, qui peut regarder dans tous les coins, à tous les niveaux de la vie, comprendre, définir, sur le plan matériel, sur le plan astral, sur le plan morontiel, comment s’exécute la volonté universelle, comment se définit la réalité universelle, comment s’évoquent les architectures des mondes, qui créent à l’infini, sans que l’homme ne se rende compte.

    Edwige
    L'humain de l'involution est incomplet parce qu'il n'est pas dans un mental télépathique qui lui permettrait de savoir et de comprendre comment les esprits universels, dans les mondes systémiques, utilisent et crée indéfiniment à partir de l'énergie cosmique et de l'énergie de nos pensées.

    Josée
    Le régime de la réflexion a sévi impitoyablement, remplaçant l’incommensurable capacité communicationnelle du plan mental par un ramassis d’images d’épinal dont nous mesurerons un jour toute l’excentricité et la gratuité, une fois muni de la version neutre de notre senti. C’est par le ressenti que nous nous dégouterons des archétypes et autres chimères qui nous tenaient lieu de science de la vie. Nous étions trop magnétisés pour ressentir notre dégoût face à tout ce qui fut virtuel. Le réel, nous l’avons continuellement côtoyé mais dans l’inconscience et sans jamais le palper autrement qu’à travers un champ magnétique. Rendus incapables de nous laisser magnétiser, nous palperons tout : l’élémental, le quantique, l’astronomique. Rendus incapables de nous laisser magnétiser, c.a.d. munis de discernement télépathique, nous jouirons de la beauté d’une intelligence qui est aujourd’hui une magnitude, un objet de magnificence qu’on magnifie encore, par magnétisation. Plus loin encore dans le futur nous mesurerons par ailleurs l’infinie rationalité du réel multidimensionnel et nous accéderons à l’explication du fonctionnement de cette rationalité à toutes les échelles.

    Des groupes souffrent d’injustice, des âmes se développent des carences affectives, mais la race terrestre dans son ensemble se juge « achevée » sur le plan psychologique et intellectuel. L'humain de l'involution se pense complet en tant qu’animal intelligent. Comme le cygne dont on a rogné les ailes et qui stationne dans le parc, sa prison invisible, l’individu durant l'involution n’a pas les moyens de quitter le clos. Il en va ave l’homme inconscient comme avec le cygne dans le parc : d’autres que lui ont besoin qu’il soit retenu. Dans le cas de l’homme, le « geôlier » de l’expérience de l’inconscience est le moi supérieur de l’individu, le rayon mental. Mais le moi inférieur, cet ego qui subit lui-même l’expérience de l’inconscience, n’a dans cette bulle de temps d’autre conscience que « la pensée ». or la pensée ne fait de l’homme une race juge « achevée » sur le plan psychologique et intellectuel parce qu’elle n’est pas un accès au savoir. La pensée, c’est l’aile rognée de l’homme prisonnier de son beau parc. La pensée est une machine ou machinerie ou machination faramineuse et insoupçonnée. Il y a un temps oû la pensée doit rester occulte pour atteindre son but supérieur.

  • #22

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:38)

    20 Bernard
    Vous croyez que vos rêves sont le produit d’un subconscient parce que Freud a parlé de subconscient ? Ça n’existe pas, le subconscient. C’est une conception, légitime. Lorsque l’homme aura l’autorité, l’homme saura, verra que le subconscient, ça n’existe pas, que les rêves sont créés, comme la pensée est créée, sur des plans qui font partie de sa multidimentionnalité systémique. Et la raison pour laquelle vous aimez ces concepts, vous aimez le subconscient, vous aimez la réflexion, c’est parce que tous ces mots, toutes ces notions vous protègent contre votre réalité, contre votre autorité, vous protègent contre un savoir qui est plus vaste que votre capacité d’en faire la critique.

    Edwige
    La créativité des entités, des mondes universels, impacte et/ou influence les comportements, les rêves, les pensées, la vie humaine. Sans une autorité intérieure et mental télépathique l'humain ne peut entrer en contact avec elles pour parler de ces manutentions énergétiques qui touchent, bousculent et /ou bouleversent l'humain dans tous les domaines de sa vie.

    Josée
    Nous avions besoin de concepts simples pour tourner en rond dans notre bulle, notre théâtre. Nous pouvions observer, même dans ce confinement, la machine de l’Histoire, la machine du progrès technologique, la machine des niches écologiques, la machine du corps humain et surtout la machine de la pensée appelée psychologie - toute cette machinerie luciférienne. Les rouages de ces machines échappaient à l’entendement. Et comment aurait-il pu en être autrement ? Tout ça fut mis en place comme le théâtre de l’involution, le théâtre de notre ignorance, un théâtre trop complexe pour qu’aucun penseur ni ordinateur n’en soit à la hauteur. Enfermés dans du théâtre, nous n’avons fait que nous accommoder de nous y retrouver insérés - quand nous ne l’avons pas religieusement idéalisée. Mais notre incapacitation ne nous gardait pas humbles, elle nous gardait fonctionnels. L’acteur aime croire qu’il comprend la pièce : l’acteur n’aime pas que soudain soit chamboulé ce qu’il avait compris et qui lui permet de jouer son rôle. Aujourd’hui, on sort hors du cadre, on a accès aux coulisses, au deus ex machina, il n’y a plus de rouages échappant à l’entendement. Il n’y a plus de fiction à endosser. L’homme n’ayant plus à jouer aucun jeu, il devient enfin intégralement opérationnel. Il n’endosse plus la pseudo autorité scientifique et ne se fait plus imposer la force réactionnaire qu’elle lui opposait pour se justifier.

    Quand la conscience se met en expansion, une collaboration interdimensionnelle se met en place entre les niveaux inférieur et supérieur de l’homme : l’ego de l’homme en bas qui « voit », comprend, décide, ressent, s’enquiert - et la lumière de l’homme en haut qui se fraie une pénétration dans l’ego. Par cette pénétration, l’ego ressent et voit etc plus clairement. Sa vision du réel gagnant en clarté et définition, l’ego en vient à pouvoir voir vibratoirement les êtres de lumière via sa conscience de leurs manutentions. La vision que l’ego a de la lumière vient de sa capacité d’être dans son senti neutre, neuf, remis à neuf, vidé de ses nœuds psychologiques qui lui faisait idéaliser la lumière. L’homme en désidéalisant la lumière développe un senti de ce qui le touche personnellement dans ces manutentions de sa personne. Ce respect de soi lui crée un centre d’autorité intérieure qui lui permet de monter au niveau supérieur. Parce qu’il est désormais sans fascination, la collaboration interdimensionnelle égo-lumière se met à devenir de plus en plus facile, le temps commence à rouler à couler par ses propres lois. Ce renchérissement entre les deux côtés de la collaboration explique à l’ego les tests et les épreuves qu’il doit traverser du fait de la lumière qui pénètre en lui.

  • #23

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:39)

    21 Bernard
    La pensée est simplement une MODIFICATION de notre relation avec l’homme, pour sa protection. La pensée, ce que nous vivons comme pensée, est une modification extrêmement intelligente, créée par la lumière des mondes systémiques, pour protéger l’homme sur la terre d’une destruction massive de son ego qu’on appelle la folie, afin qu’il puisse, sur le plan psychologique, expérimenter la vie pour pouvoir créer une mémoire qui sert, au cours de l’évolution, au développement de nouvelles architectures. La pensée humaine sur la terre fait partie d’une immense DNA cosmique, universelle, psychique, et chaque fois que l’homme pense, que ce soit une bonne pensée, que ce soit une mauvaise pensée, c’est sans importance. Toute cette énergie psychique fait partie d’une immense spirale d’énergie, qui fait partie de la volonté universelle de l’évolution. La vie, c’est une volonté évolutionnaire. Nous n’avons pas besoin d’établir, de structurer, d’instituer une divinité pour comprendre qu’est-ce que c’est, la vie. Vous êtes obligés de vous imaginer un concept de Dieu parce que vous n’êtes pas capables de supporter l’impression que l’univers est gouverné par des milliards d’intelligences, pour vous faciliter la tâche émotionnelle, pour vous permettre de supporter cette infinité, ces masses de mondes, ces masses de mondes.

    Edwige
    Remettre ses propres pouvoirs entre les mains d'une autre autorité que la sienne est un voile pour l'ego qui ne supporterai pas, psychologiquement, son savoir sur la réalité des gouvernances des multiples intelligences cosmiques, ni les conséquences vertigineuses de ce savoir qui dépasse l'entendement de la conscience de son mental inférieur. Sa pensée lui permet d'avoir une réflexion, qui est une forme de substitue, de placébo à sa souffrance sur terre. Elle l'empêche de se connecter à sa source pour comprendre une réalité qui le ferait se détourner de sa vie terrestre. Car la vie sur terre est une existence expérimentale. Elle est nécessaire à l'âme qui accumule dans sa mémoire l'énergie de ses expériences et l'énergie des émotions de l'ego. Toutes ces énergies ainsi que les énergies des mémoires et des pensées sont utilisées en tant que matière première pour les besoins évolutifs de LA VIE, source originelle. Elle s'auto génère indéfiniment, telle une dynamo à courant continu, en convertissant l'énergie mécanique des humains en énergie cosmique pour construire d'autres mondes qui produisent eux aussi de l'énergie cosmique, dans d'autres espaces temps où il n'existe aucune autorité, aucune domination, aucune polarisation, aucun empêchement à la perpétuation à l'infini de LA VIE en tant que "source de toutes vies".

    Josée
    L’expérience involutive doit créer dans chaque ego une mémoire. Le cosmos - à partir de cette architecture individuelle - veut développer de nouvelles énergies primordiales, un genre de big bang spécial. C’est pourquoi nos « moi » cosmiques sur le plan mental nous enferment, nous, leurs avatars temporels, dans une bulle de temps. nos « moi » cosmiques sont ces contreparties de nous qui sont infiniment au courant des besoins du cosmos mais ne peuvent descendre dans notre bulle de temps à cause d’écarts vibratoires. Il leur faut des avatars temporels, reliés par leur rayon , donc opérationnels sur le plan mental mais très minimalement. Une reconcoction très élaborée du rayon mental appelée la pensée nous est distribuée télépathiquement. Ce que les psychiatres estiment venir du cerveau comme la salive vient de la bouche, est continuellement concoctée de façon à nous garder à l’abri de la folie. Le bien et le mal qui nous est engrammés et par lesquels on approche de cette périlleuse folie, sont les deux poids qui tiennent la roue de la pensée en mouvement perpétuel. L’inconscience nous fait tout empirer en nous-mêmes (à l’exception de notre force de caractère). L’inconscience est la suspension de notre parfaite conscience naturelle. L’inconscience est nécessaire afin de nous faire nous accrocher à des milliers de croyances. L’inconscience donne la consistance de l’eau dans le moulin du temps. La complexité symbolique qu’on apprécie dans les rêves nocturnes est partout dans la pensée, déguisée en croyances de ce que nous jugeons bien ou mal. Nous ne mesurerons la complexité symbolique de la pensée inconsciente qu’à la pointe de notre sabre.

  • #24

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:40)

    21 suite
    Josée en réponse à Edwige
    Il y aura récupération de l’énergie de notre très longue expérience involutive. Le fait de vivre dans le temps et de ne rien absorber a créé un décalage, un déphasage entre le haut et le bas. C’était l’idée quand on a embarqué. Ce qui en naît est attendu par le cosmos. Mais ton texte m’a montré que je suis inconsciente là-dessus mais il m’a amené une autre question. L’homme conscient peut-il aider l’homme inconscient ? Ça dépend si l’homme est assez conscient pour sevrer le « désir » d’aider. Quelqu’un qui aide par désir d’aider est inconscient, alors tu as l’aveugle obsédé de guider l’aveugle. Il y a un calcul - fut-il très moral très spirituel. L’homme dans sa propre autorité n’est dans aucun calcul. Maintenant l’homme conscient « doit-il » aider l’homme inconscient ? Non. Il ne doit rien à personne. L’homme conscient se « doit-il » des choses ? Oui, il se doit d’être créatif. Exemples. Il se doit à lui-même de ne pas juger ce qu’il se donne de vivre. Ou, s’il le juge, de neutraliser son élan de jugement. Et, s’il en a marre d’errer, il se doit à lui-même d’être patient. S’il comprend par télépathie son besoin du moment, il se doit d’y couler comme de l’eau. Les événements poussent l’homme conscient dans toute sorte de contacts avec l’humanité au quotidien. Il y a là-dedans les besoins de l’homme conscient à être testé pour bien demeurer créatif, c.a.d. télépathique. Et il y a là-dedans son besoin d’avoir une conscience des conséquences de son impact sur les autres. Il n’a pas à se préoccuper des besoins des autres. Mais il se doit de savoir que tous ceux qui sont exposés au verbal et non-verbal d’un homme conscient, aussi amoraux ou coincés fussent-ils, se font combler des besoins extrêmement particuliers. Des points spécifiques de leurs besoins d’ajustement se trouvent remplis chez eux si subliminalement que l’effet ne se déploie qu’à leur insu, sans l’imputer à la rencontre.

  • #25

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:41)

    22 Bernard
    Lorsqu’il s’agit de regarder plus profondément dans l’écharpe, dans la structure des mondes systémiques, vous craignez la pluralité des intelligences qui gouvernent les univers. Vous préférez la synthétiser, amener tout ceci dans une formation, dans une notion qu’on appelle Dieu, pourquoi ? Parce que l’unité favorise votre émotivité, alors que la pluralité fracture votre propre unité. On n’est pas intéressé de savoir que chaque fois qu’on embrasse notre femme, ce sont des électrons qui se promènent … on veut simplement cette unité de conscience, cette divinisation de l’émotion. Dans cette divinisation de l’émotion, on est bien. Mais si on demeurait à ce niveau, on n’en arriverait jamais à comprendre la pluralité des mondes, la pluralité des expériences, la pluralité des phénomènes, ça force l’individu, à son niveau, de faire la mainmise sur ce qu’il sait et de ne jamais se laisser influencer par ce qui est extérieur à lui, et ça, ce n’est pas facile. Être dans l’autorité, c’est ou ça équivaut à ne pas pouvoir avoir de maître. Ne pas pouvoir avoir de maître. Vous devez simplement pouvoir identifier des individus qui pensent peut-être comme vous. Vous vous identifiez des amis dans le monde. Mais de là à avoir des maîtres, un maître, c’est déjà une apostasie.

    Edwige
    Être dans son autorité c’est pouvoir renoncer à tout endoctrinement spirituel-religieux, c'est refuser de se croire seul et unique dans le cosmos, c'est ne pas se faire influencer, émotiver, polariser par ses découvertes, c'est affronter l'inconnu pour communiquer et comprendre les gouvernances systémiques universelles, les multiples intelligences qui œuvrent scientifiquement avec l'énergie humaine et cosmique.

    Josée
    La pensée va d’abord stipuler que quelque chose est mal, si la peur est là pour nous retenir d’y plonger nos corps d’expérience multidimensionnelle. La pensée va d’abord stipuler que quelque chose est bien, si le désir est là pour y plonger nos corps d’expérience multidimensionnelle. Décrire quelque chose par une polarisation indique que c’est quelque chose auquel on n’est pas intégré et qu’on ne peut donc avoir pour cette chose qu’un senti psycho-logique. Il en va ainsi dans notre approche du cosmos. Nous avons faim de l’unité qu’on nous a promise dans notre religion. On aime jongler avec les symboles positifs parce qu’ils ne se comptent pas à la pelle. On aime les archétypes négatifs parce qu’ils expliquent tout une fois triés et conjugués. On a les mythologies qui recourent au concept très positif et apétissant de l’éternité du temps ou de l’infinité de l’espace. Mais tout dans cette panoplie de jugements qu’on porte sur la vie créée une tension. Tout nous nie dans notre nature neutre et notre unicité individuelle, qui sont pourtant notre point de départ, sinon on fonctionne en mettant la charrue avant les bœufs. Aucunes mythologies ne voulaient qu’on s’approche d’elles, elles nous gardent polarisées, collectivisés et dans le mépris du concept de l’individualité. Mais tout dans notre système nerveux est unique ! est ce que de le SAVOIR ne susciterait pas un parfait respect de chacun en sa propre personne ? Et - sachant qu’on peut respecter et rester à distance - est ce que de SAVOIR que chaque instance présente dans la création est unique, ça ne justifierait pas un respect de l’autorité de chaque instance présente dans la création ?

    On a été endoctriné à voir de la bonté et de l’amour spirituels dans l’univers, on nous a dit que dieu donnait sans rien prendre en retour, on disait du christ qu’il avait été envoyé à nous alors qu’il était l’être le plus précieux pour dieu. Ça, c’est pour jadis. Récemment, on a dit à l’homme des nouvelles choses qu’il a crues tout autant : que le double l’aidait spirituellement, que le double était le grand Joker de la tentation, qu’il était en haut, qu’il était en bas, ou encore des choses sur le système nerveux, les deux encéphales, le noyau des neurales, le règne élémental qui butine partout là-dedans, etc. Cette information vient tester un niveau plus fondamental de la capacité de croire de l’homme, relevant de la nature ambitieuse, affamée, pressée d’évoluer de l’ego humain. Là, l’homme mature discerne l,erreur – comme quoi il est encore capable de « croire », surtout du fait que l’information n’est plus tant collective que livrée à la porte pour être amenée à ses yeux précis.

  • #26

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:41)

    23 Bernard
    Comment pouvez-vous être avec nous, c’est-à-dire avec la conscience systémique humaine, mentale de l’homme individualisé, si nous sommes avec les hommes, c’est-à-dire si nous sommes sous le joug de leur autorité ? Je parle de l’autorité insidieuse qui me dit comment penser, comment définir le réel, comment définir l’invisible, comment définir Dieu. Cette autorité insidieuse qui fait partie du pouvoir temporel des religions, des philosophies, des idéologies, des maîtres. Un homme qui a un maître n’est pas lui-même un homme complet. Si vous avez un maître, vous devriez être suffisamment conscient pour maîtriser votre énergie afin que lui, un jour, apprenne de vous. Mais si votre maître ne peut pas apprendre de vous, vous n’êtes pas dans votre autorité. Vous êtes un disciple, vous êtes un con disciple. Un homme dans son autorité ne peut pas apprendre de personne ! Il apprend de lui-même. Il échange avec d’autres qui apprennent de lui-même, d’eux-mêmes. C’est ça la différence entre la psychologie mécaniste du XXe siècle et la psychologie évolutionnaire qui prend racine dans le monde et qui permettra éventuellement à l’homme de comprendre les grands attributs de sa carrière évolutionnaire.

    Edwige
    Un être dans son autorité n'est pas influençable, ni dominable dans son mental, il apprend par lui-même avec son double et par ses échanges avec d'autres qui ont également appris d'eux-mêmes. C'est la psychologie évolutionnaire du futur qui permettra aux hommes de comprendre leur vie expérientielle terrestre.

    Josée
    L’homme se laisse courtiser par les dogmes de la civilisation. Sa place, il pense la trouver collée à des prêcheurs de dogmes mais sitôt les dogmes cueillis, il en cherche d’autres afin d’y mettre de la stabilité, ou plutôt, afin de se procurer à lui-même de la stabilité, ignorant bien sûr qu’il en détient, de la stabilité, ignorant que son êtreté est absolue et qu’il doit juste la faire respirer en faisant table rase des dogmes qui l’étouffent et l’aliènent. C’est en apprivoisant le vide laissé par la disparition des dogmes, qu’il permettra l’entrée dans ce vide en lui de l’intelligence universelle. L’homme qui ignore qu’il en détient en lui-même de la stabilité ne peut pas vivre l’aventure de l’intelligence universelle.

    Se faire influencer par l’élan spirituel d’autrui à notre endroit, c’est se faire dominer par notre réflexion spirituelle qui a accompagné cet événementiel. Mais une telle situation mérite sa place. Elle enseignera ce qu’on appelait jadis une leçon, mais qui est un moment de transparence ou de vide dans l’ego, une suspension de la mécanique karmique par laquelle l’ego répète continuellement ses attitudes. L’intelligence universelle profite du vide pour pénétrer l’ego, c’est d’ailleurs une collaboration car l’intelligence à ce stade n’est plus juste en haut, elle est dans l’homme, le vide est permis par l’ego, dans son autorité. D’ailleurs le vide n’existe même pas dans le temps, les deux sont incompatibles, par « vide » il faut entendre une inversion du sens du rayon. Que signifie « inversion du sens du rayon » ? L’homme qui est testé spirituellement patauge un instant dans sa spiritualité. Il peut par exemple être influencé par l’élan spirituel d’un autre à son endroit. On a toujours été ainsi, on réfléchissait ce qu’on recevait mentalement, on l’endossait. Soudain une volonté suprasensible met un stop au cruel rayon de haut en bas, le neutralise et l’inverse en exprimant son autorité de bas en haut. Il n’y a jamais eu de vide dans le temps, c’est instantané parce que c’est vibratoire, c’est ce qui va remplacer notre consommation actuelle du temps quand le temps ne servira pus à séquencer les tests qui nous préparent à devenir interactifs dans le rayon.

  • #27

    Josée (lundi, 03 février 2020 18:42)

    24 Bernard
    La conscience, c’est une science exacte. Ce n’est pas un feeling, ce n’est pas un état ténébreux, ce n’est pas un état émotionnel, ce n’est pas un état spirituel, de la conscience. Elle est dans sa propre autorité. Elle ne convient d’aucune autorité, et elle peut échanger avec toutes les autorités. C’est une télépathie. C’est un lien systémique avec des mondes que, pour le moment, nous ne voyons pas, parce que nous devons remplir notre rôle en tant qu’agents incarnationnels sur une planète expérimentale.

    Edwige
    La conscience du mental télépathique est dans sa propre autorité. Elle peut communiquer scientifiquement avec les gouvernances des mondes universels, tout en restant invisibles afin de ne pas entraver les conditions existentielles et expérimentales humaines sur terre.

    Josée
    L’intelligence universelle, en haut, est a-temporelle et a-dimensionnelle, ce qui lui fait rencontrer la création dans le rendez-vous perpétuel des ondes multidimensionnelles qui se croisent en bas au ssein de l’homme. L’intelligence universelle, en haut, c’est ce qui répond à ces myriades de besoins d’elle que lui indique la conscience, en bas. La conscience est un besoin ambulant, se conjuguant en micro besoins qui, même s’ils échappent à son entendement, n’en sont pas moins parfaitement précis. La conscience de l’homme fusionnera avec l’intelligence universelle par la concordance de la volonté en bas et de la capacité d’armer cette volonté en haut. de ce que comprend l’ego comme étant ses besoins fusionne avec ce que l’intelligence universelle sait que sont ses besoins. La conscience est un socle. C’est pour l’homme le socle de sa propre autorité. C’est ainsi que se réalise pour l’homme le socle de sa propre autorité : en s’appuyant sur le socle de sa propre autorité. pour comprendre que tout dans l’intelligence universelle lui remplit des besoins, ne serait que le besoin de cesser d’idéaliser l’intelligence universelle. Ou, en 1er lieu, le besoin de cesser d’idéaliser l’autorité des prêcheurs de dogmes.

    La conscience télépathique demande une autorité, une autorité scientifique au niveau de la science universelle, une autorité qui gagne en reconnaissance et crédit, une autorité qui s’approche patiemment de sa chaise autour de la table d’honneur. Oui elle existe - cette chaise du futur à partir de laquelle s’exercera sur cette tablée l’autorité en développement actuel sur terre. Notre autorité aura triomphé d’un défi astronomique et enseignera aux étoiles.

  • #28

    Edwige (lundi, 03 février 2020)

    25 Bernard
    Le problème de l’homme, c’est qu’il croit qu’il est petit. Et l’homme n’est pas petit. Mais s’il ne se donne pas d’être dans son autorité, dans sa globalité, il sera toujours petit, parce que l’autre, le maître, sera toujours plus grand que lui. Et si vous sentez qu’il y a des gens dans le monde qui sont plus grands que vous, en conscience, ça veut dire que votre conscience est inférieure à ce qu’elle devrait être. Ça ne se compare pas, des consciences. De la conscience, c’est de l’énergie pure. C’est vibratoire, ce n’est pas psychologique. Un jour, vous comprendrez que tout ce que vous avez étudié pendant l’involution n’a rien à voir avec l’intelligence. Vous rencontrerez les gens et vous verrez et vous saurez instantanément qu’ils sont spirituels. S’ils le sont trop, vous aurez le frisson, vous serez obligé de vous séparer d’eux, autant que par le passé vous avez cherché leur compagnie, parce que vous étiez vous-même coupé du même matériel.

    Edwige
    L’homme est grand dans son autorité, dans sa conscience il vibre une énergie pure qui l'oblige à se séparer des personnes ou relations spirituelles.

    Josée
    De deux choses l’une : ou tu exerces ton pouvoir ou tu le cèdes – que ce soit à autrui ou à quelque chose. Il y a à l intérieur ou extérieur de nous beaucoup de prédateurs configurés pour nous bondir dessus. Même de loin et sans contact tu peux donner ton pouvoir. La dominance d’autrui ne nous regarde pas. Nous y comparer oblige de passer par des critères événementiels ou comportementaux, c.a.d. des idées factices où on tombe comme dans un gouffre. La qualité de l’énergie d’un vis-à-vis humain ne nous regarde pas mais il nous incombe de se ressentir soi-même dans la périphérie des échanges qu’on vit. Les dominations factices qui émanent de l’échange (domination ne veut pas dire dominance) se perçoivent en termes d’énergie, indiquant une faible circulation d’énergie. L’énergie ne se mesure pas avec des critères événementiels ou comportementaux, mais beaucoup plus intimement, par la paix et le bien-être qui émanent de la fluidité. La fluidité est non un critère mais un état permanent quand on se déspiritualise. C’est au seul profit de la fluidité de l’échange entre les personnes que sera délaissée la spiritualité ; la spiritualité est une masse obstructive

    Les forces spiritualisantes s’activent de façon exponentielle, et on observe sur le plan individuel l’augmentation de cette frustration typique de la bonne volonté. Tout ça est voulu par l’esprit car l’exaspération est la condition émotive, individuellement parlant, la plus susceptible de déclencher le processus de fusion. L’être qui approche l’asphyxie totale se rebelle. La spiritualité est un abonnement à des messages psychiques dévalorisants. L’effort de compensation, qui cherche à se revaloriser en faisant le bien, ne neutralise pas la carence en identité de l’homme inconscient. Ce spectacle chez autrui risque de navrer l’homme qui devient conscient, c’est un test à ses relents de « spiritualisabilité ». Il est tenté de réagir à quelqu’un de spirituel en se plaçant sur la même longueur d’onde. La mémoire est forte. Se déspiritualiser, c’est se soulager d’un costume étouffant dans un premier temps, et c’est inlassablement se protéger des tentations de retour au costume. La protection de soi se fait avec une facilité croissante gagnée par un nombre de tests croissant. La protection de soi finit par exiger la rupture des liens avec les milieux spirituels, voire avec les bons amis rendus trop bons, perdus et polarisés. La rupture peut être temporaire.

  • #29

    Edwige (lundi, 03 février 2020 18:43)

    26 Bernard
    Il n’y a plus d’âme en lui, plus suffisamment de mémoire en lui. Il devient esprit, il devient systémique, il devient prépersonnel, il devient mental. Il ne fait que vibrer. Il n’a plus besoin d’étudier pour savoir. Il n’a plus besoin de réfléchir pour appréhender. Il est dans la paix de son esprit, parce qu’il ne cherche plus. Tant que vous cherchez, tant que l’homme cherche, il est encore dans l’involution, il a encore besoin de maîtres. Regardez bien le phénomène de l’autorité dans votre vie, de cette imposition sur votre mental, à travers vos émotions, de notions qui n’ont rien à voir avec le réel et qui font partie du pouvoir des autres sur vous. Et vous verrez jusqu’à quel point vous êtes coincé.

    Edwige
    L'humain qui a un mental télépathe vibrant a fusionné avec son double, son cerveau éthérique et les énergies d'expériences de l'âme et de l'ego. Il est dans une neutralité mentale et émotionnelle, sans rien attendre d'aucune autorité mais dans le savoir à la demande et à volonté.

    Josée
    Tant qu’on nourrit en nous de la réflexion, c’est parce qu’on cherche un appui dans l’irréel de la mémoire, la connaissance, les critères, l’analyse, etc, On est dans l’activité subliminale de continuer à endosser des dogmes. L’endossement est subliminal et les dogmes sont subliminaux. Or, tout ce qui est subliminal agite le système nerveux, ce qui débalance les corps. On le paie de notre paix. La nuit, quand on est en insomnie, la réflexion est très forte pour commenter et juger nos comportements de la journée. Durant la journée, la réflexion subliminale nous garde beaucoup plus soumis qu’on pense, que ce soit dans le couple, devant l’écran, au travail, même s’il s’agit d’un travail solitaire. Cette activité se fait le relai des forces de dominations partout où elles se trouvent. C’est la réflexion qui justifie nos propres élans de domination. Sans réflexion, on permettrait à chacun de se poser sur sa propre autorité. Sans réflexion, on pourrait faire circuler notre respect et notre dominance dans tous nos échanges de la journée. Sans réflexion, on canaliserait.

    L’homme ayant développé une conscience télépathique accède au savoir à la demande et à volonté, et ce, à l’intérieur d’un continu entre sa volonté, en bas, et le savoir, en haut. Au fur et à mesure que se développe le rayon bidirectionnel de cet aller retour, se crée une intégration de tout ce qu’on a vécu. La réflexion de la programmation évolutive est une invitation à se secouer du statu quo de tout ce qu’on a vécu. Un jour l’homme en arrivera à convertir chaque test en énergie de puissance. Sa morontialisation correspondra à la fin du chantier de burinage appelé la programmation évolutive de burinage. L’homme morontiel entrera à l’école des ondes.